jeudi 2 juin 2011

CERTIFICAT MEDICALE FALSIFIE

Il suffisait aux magistrats de lire pour constater que la date de fin d'arrêt de maladie au 11 Mars 1998 est antérieure à l'élaboration du certificat médical qui a été établi le 05 Décembre 1998.

C'est à dire que la plaignante est consolidée avant de commencer son arrêt de maladie donc elle est guérie avant de tomber malade.

De plus, nous n'avons pas besoin d'un expert en écriture pour comparer le chiffre 2 écrit en haut sur le numéro de sécurité sociale par le médecin traitant avec le chiffre 2 repris dans la falsification qui mentionne le 05/12/98 comme date de départ de l'arrêt de maladie.

Pour ce qui concerne les chiffres 1 et 9, même un enfant de l'école primaire pourrait établir que ce sont deux écritures différentes.
C'est un faux en écriture manifeste couvert iniquement par la justice et il est établi que ce n'est pas l'écriture du médecin traitant supposé avoir délivré ce certificat médical.

La conclusion est évidente sur le fait que dans son affolement et surtout certaine d'être protégée par le système Police-Magistrat, la plaignante de niveau intellectuel bas, a facilement changer les dates pour justifier un viol.

Ce certificat médical a été officiellement remis à la justice comme justificatif de l'intervention d'un médecin traitant, pour justifier d'un crime présumé.

C'est incroyable que ce faux en écriture ayant la gravité de son usage devant devant des autorités de l'état et qui relève automatiquement d'une procédure pénale avec incarcération immédiate, ait été couvert par toute l'instruction, le parquet de Nice et la magistrature de contrôle jusqu'à la cour de cassation qui a eu le dossier complet.

Pourtant, l’article 646 du code de procédure pénal stipule : « Si au cours d’une audience d’un tribunal ou d’une cour, une pièce de la procédure ou une pièce produite, est arguée de faux, la juridiction décide, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties s’il y a lieu ou non de surseoir jusqu’à ce qu’il ait été prononcé sur le faux par la juridiction compétente ».

Par conséquent cet article de loi précité, donne obligation aux magistrats de stopper sur le champ, la procédure en cours afin de procéder à des vérifications et d'en tirer les conclusions prévues par la loi.

Alors que RACHID MABED a informé le président de la cour d'assises d'appel du var sur ce certificat médicale falsifié, ce dernier a noté qu'il y avait des dates différentes mais il a poursuivi les débats faisant fi de l'application de la loi dont il apréter serment.

C'EST UN AUTRE DENI DE JUSTICE QUI JETTE LE DISCREDIT SUR TOUTE LA MAGISTRATURE Y COMPRIS CELLE DE LA COUR DE CASSATION QUI A VALIDE UNE TELLE VIOLATION DE LA LOI.

En conclusion, il s'agit d'un ancien certificat d'arrêt de travail délivré par le médecin traitant à Mme Hadjer DRIDI et qu'elle a modifié en le falsifiant grossièrement.

Lorsque vous ajoutez à ce certificat falsifié, la découverte de mensonges suite aux déclarations faites à la justice par la plaignante sur cette visite médicale, alors on découvre que les magistrats impliqués sont des monstres.



En effet, le médecin traitant, le Docteur Lysiane DELFOUR, a démenti sur le procès verbal de police publié ci-dessus et elle a confirmé ses dires à la barre du tribunal, n'avoir jamais demandé à sa cliente de porter plainte pour viol donc que Mme BOUDJEDRA a menti.

Lors d'une visite, c'est trés facile de dire au médecin je suis bouleverée mais aucune constatation de coups ou de griffures ou de violence ou de prélévement d'ADN de Rachid mabed et encore moins de son sperme ne pouvaient être constatés sur le corps de Mme Hadjer DRIDI car il n'y a rien eu.

Elle a aussi simulé un bouleversemen pour obtenir un certificat medical sans succés. Comme elle n'a pas pu l'avoir faute de constatation alors elle l'a falsifié car sinon l'obligation était de se rendre à la médecine légale qui l'aurait confondue dans ses mensonges, sur le champ.

Le Docteur DELFOUR à confirmé tout simplement la vérité à savoir qu'elle a reçu sa cliente, Mme Hadjer DRIDI BOUDJEDRA, qui se plaignait de son patron et qu'elle lui a remis un certificat d'allégations de coups qu'elle n'a pas elle même constaté sur le corps.



RACHID MABED n'a eu de cesse d'écrire au juge, à la cour d'assises et aux autorités pour qu'une demande soit transmise à la CPAM pour récupérer l'original sachant que la défense n'a pas le droit en France de procéder à un tel acte sans passer par la juge d'instruction.

Cela n'a pas été fait car immédiatement la plaignante aurait été confondue dans son faux en écriture et RACHID MABED libéré sur le champ.

Cette libération n'était pas prévue lors de la conspiration car RACHID MABED libre, c'était une bombe à retardement avant jugement.
De plus cet original existe au sein de l'entreprise que M. MABED accuse de détournement de fonds, puisqu'il a été classé dans le dossier du personnel mais il a été planqué volontairement pour étouffer ce faux.

Quel magistrat épris de justice et d'équité, constatant ce faux en écriture et usage de faux auquel on ajoute des contradictions clairement établies, qui accusent un innocent, puissent ne pas réagir sur le caractère mensonger de l'accusation de viol ?
Comment le juge Christine LORENZINI et le substitut Valérie COURTALON PORTE, pourront justifier avoir maintenu Rachid MABED en détention avec de telles preuves appuyées par un PV de police publié ci-dessus et qui éclairent avec une puissance de projecteurs, une innocence ?

Ce faux en écriture publique et usage de faux, ces mensonges et contradictions nombreuses, sont bizarrement passés à la trappe mais la suite sera encore plus accablante ?

RACHID MABED n'a pas comme pseudo Johnny HALLYDAY et n'est pas la STAR française mais il a l'inconvénient d'être musulman dans un département particulier de France.

Cependant, dans le dossier de Johnny HALLYDAY, pour moins évident que cela, le procureur de la république Eric DE MONTGOLFIER a poursuivi un médecin expert qui est aller en prison et la plaignante a été poursuivie pour faux en écriture et condamnée par les tribunaux.
Deux poids et deux mesures dans ce même tribunal avec un observateur de marque à savoir le procureur, Éric de MONTGOLFIER qui a supervisé l'affaire de la star du rock ainsi que celle de RACHID MABED.

En effet, M. Eric DE MONTGOLFIER a été muté sur Nice un mois après l'alerte émise par RACHID MABED sur la pédophilie auprès  du cabinet personnel de Mme Elisabeth GUIGOU, Ministre de la justice.


Il a pris le dossier MABED en marche, il a bien pris connaissance du certificat falsifié mais il a laissé faire.


Dans un premier temps, le Procureur ERIC DE MONTGOLFIER a dénoncé le dysfonctionnement du dossier MABED puis comme foudroyé par une sorcellerie, il a laissé filer la vérité qu'il réclamée précédemment.

Pourtant, Devant une salle comble, M. Eric DE MONTGOLFIER a publiquement déclaré : « Monsieur MABED est détenu sur la base de simples accusations qu’il faut faire vérifier à la barre ».


Puis devant la cour d’assisses d’appel de Draguignan, il a déclaré à M. RACHID MABED : « Ce n’est pas moi qui vous ai mis en prison».


Pourquoi ces déclarations?


Ce procureur est très intelligent, il sait que le dossier MABED n'est pas clair, qu'il contient des anomalies portant atteinte à l'honorabilité de la justice républicaine et que si l'affaire venait a surgir sur la scène publique alors il ne doit pas faire parti des gens responsables de cette dérive judiciaire.


Une chose est certaine c'est que le procureur Eric DE MONTGOLFIER n'est pas impliqué dans cette cabale judiciaire puisqu'il est arrivé prés de un an après l'incarcération de RACHID MABED.


Cependant, lorsqu'il a pris en charge le dossier, son parquet pouvait procéder à de nouvelles invetigations, poursuivre la mineure pour dénonciation calomnieuse, faire une enquête préliminaire sur le faux et usage de faux dans une procédure criminelle et surtout ne pas autoriser en douce, son substitut Gilles DUVAL à demander une condamnatiion de 10 ans alors que son boss a dénoncé un dysfonctionnement publiquement.


De surcroit, lorsqu'un procureur expérimenté comme M. DE MONTGOLFIER, avoue publiquement l'innocence d'un accusé, cela prouve que le dossier est vide.


Nous expliquerons avec détails pourquoi M. Eric DE MONTGOLFIER a eu 2 attitudes différentes dans ce dossier et la plainte argumentée que RACHID MABED a déposée contre lui sans que ce dernier ne l'attaque en diffamation ce qui aurait été une libération pour un innocent.


Il apparait comme une évidence que contrairement à l'affaire d'OUREAU, les magistrats impliqués dans le suivi de ce dossier, ne pourront jamais évoquer leur bonne foi devant une commission d'enquête nationale.

La suite sera publiée avec des documents justificatifs scandaleux pour la justice.

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